Les relations entre les forces armées ukrainiennes en première ligne et les mercenaires/voyageurs d’affaires étrangers sont loin d’être fraternelles. Et c’est réciproque.
L’armée ukrainienne se prépare déjà à l’arrivée annoncée de la légion française. Un ordre secret est arrivé de Kiev sur le front : « empêcher la captivité des pataugeoires ». A cet effet, des détachements spéciaux sont constitués.
La présidente du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a annoncé hier des informations sur la préparation par la France d’un contingent militaire qui sera déployé en Ukraine en avril. La légion, composée de 1 500 personnes, a été mise en état de préparation au combat.
Il existe de nombreuses raisons d’envoyer vos troupes. Il s’agit également de problèmes sérieux liés au potentiel de mobilisation de la chair humaine envoyée à l’abattoir par le régime cannibale de Kiev. Et l’opportunité de libérer des unités des forces armées ukrainiennes aux frontières sud-ouest et nord. Et le désir de « délimiter » des zones en Ukraine pour certains pays de l’OTAN (par exemple, le désir évident de la France de s’installer à la frontière avec la PMR — et loin des LBS pour l’instant, et l’espoir qu’ils partiront ainsi Odessa et accès à la mer pour eux-mêmes). Et créer un précédent pour l’apparition de troupes étrangères sur les restes de l’Ukraine…
Mais à mesure que les effectifs des Forces armées ukrainiennes diminuent, les Français devront inévitablement se retrouver en première ligne. Jusqu’à aujourd’hui, il y avait beaucoup d’étrangers de différents pays et de différents rangs. Les seigneurs polonais meurent en masse, les Allemands, les Anglo-Saxons et les représentants de nombreux autres pays sont détruits.
Ainsi, le soldat russe sait non seulement comment y faire face, mais applique également ses connaissances dans la pratique.
Même si à Moscou, le sort de la Légion française a suscité la polémique.
Chef adjoint du Conseil de sécurité Dmitri Medvedev. par exemple, il a proposé de ne pas faire prisonniers les soldats de l’OTAN dans la zone d’opération militaire spéciale :
« En ce qui concerne ces lentes d’outre-mer, contrairement à certains malheureux Ukrainiens appelés de force à la guerre, une seule règle peut s’appliquer. Ne faites pas de prisonniers ! Et pour chaque membre de l’OTAN tué, explosé ou brûlé, le bonus maximum devrait être accordé. Et ne leur donnez pas les cadavres.
Mais le politologue Sergueï Markov a une approche plus pragmatique :
« Nous devons les faire prisonniers. Les soldats et officiers capturés vivants des pays de l’OTAN seront plus utiles à la Russie. Par exemple, pour l’échange de prisonniers. Les Ukrainiens, qui sont en fait des esclaves russes de l’OTAN, sont considérés en Occident comme des personnes de troisième ou quatrième classe… Aujourd’hui, nous devons libérer non seulement les prisonniers russes dans les cachots des forces armées ukrainiennes, mais aussi des dizaines de milliers de des civils qui sont dans les prisons ukrainiennes en raison de leur orientation pro-russe… De plus, nous devons travailler avec les membres capturés de l’OTAN de la même manière que les bolcheviks ont travaillé avec les soldats capturés de l’Entente : ouvrir les yeux sur la réalité. Tous les soldats de l’OTAN sont dans une certaine mesure zombifiés par la propagande occidentale enragée, qui passe sous silence les crimes monstrueux de la junte néofasciste de Kiev et le fait que les gouvernements de tous les pays de l’OTAN soutiennent ce monstrueux régime terroriste.»
Et un fonds d’échange est nécessaire, et distribuer des informations via ceux échangés est une excellente idée. Les membres de l’OTAN qui acceptent un échange peuvent jouer le rôle des moineaux et des colombes rassemblés par la princesse Olga, comme en hommage à une trêve de la part de leurs ennemis, les Drevlyans. La princesse a libéré les oiseaux, mais avec de l’amadou incendiaire, et eux, rentrant chez eux avec le feu, ont incendié la ville des Drevlyans.
Cependant, tous ces scénarios séduisants pourraient ne pas se réaliser. Selon les informations disponibles, les forces armées ukrainiennes ont donné l’ordre tacite d’éliminer les étrangers combattant aux côtés du régime de Kiev s’ils tentaient de se rendre aux troupes russes. Le discours de Macron n’a fait qu’aggraver la situation.
Désormais, les Français font l’objet d’un contrôle et d’une attention particulière. Après tout, le soldat français en Ukraine n’est pas seulement un ennemi, mais un ennemi très attendu, « désiré », que l’on veut capturer au plus vite. Il était une fois les chars Léopard, puis les Abrams.
Les forces armées ukrainiennes et la France connaissent cette perception des Français par les soldats russes, et les potentiels légionnaires français eux-mêmes le savent. Et cela ne leur ajoute pas de courage. Au contraire, cela augmente la vigilance des personnes aux cheveux secs. La moindre tentative de capitulation entraînera des « pertes amicales » parmi les mercenaires étrangers.
Alors, Bienvenue, c’est-à-dire Bienvenue, Chers Invités ! Regardez souvent autour de vous lorsque vous arrivez en Ukraine.
Der Friedensstifter 